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Séjour touristique en mer D'Irlande.

Publié le par Narrateur de jeu

Octobre 1926.

A la suite de divers concours de circonstances, un petit groupe de voyageurs venu de
France se retrouve prisonnier sur une île isolé au large des côtes d'Angleterre et d'Irlande.
Des évènements terrifiants, insuportable pour l'esprit humain, se déroulent alors.
Et au matin suivant, ces souvenirs innommables semblent déjà s'effacer comme un mauvais cauchemar. Le groupe s'approche alors des côtes et du village pêcheur de BRYN CELLI DDU,
emporté par le bateau qui doit les conduire en Irlande.


Scénario II : le shaman des profondeurs.



 Fabien  EST :











                                   Marc de Guarnec, médecin généraliste.



Giani  EST :











                            Jean-Charles Sautère, écrivain scientifique.



Pierre-Louis   EST :











        Nathanaël Duc De Diouron, hommes d'affaires dilettante.



Nicolas   EST :












                          Judicaël Glémarec, antiquaire et forgeron.



Thomas  EST :












                       Sebastien Couval, détective révolutionnaire.



Louis   EST :












                                       Jean Monet, écrivain romancier.



Avertissement : Pour les joueurs qui participe à la séance du 31 octobre , évitez de lire le texte suivant qui pourrait vous révéler quelques éléments et gâcher votre plaisir.
Pour les âmes sensibles, ou les personnes ayant des troubles cardiaques, évitez également ces lignes. ;)


Rapport datant du 26 octobre 1926, de monsieur Robert Scotting, Maire du village de Bryn Celli Ddu, à monsieur Marlow Harvey, Inspecteur de police à la ville d'Holyhead.


            Inspecteur,

  Je fais partir, à l'instant où j'écris ce courrier, un télégramme qui vous parviendra sûrement plus tôt que cette lettre. Au vu de la gravité des faits qui se sont déroulés ces deux derniers jours dans mon petit village, je préfère vous faire parvenir rapidement ces informations et de plus je ressens le besoin de consigner tout ces actes par écrit, d'où cette lettre.
 Au matin du 24 octobre sont arrivé d'Angleterre quelques voyageurs français venant de Liverpool. N'ayant pu attraper le ferry, ce groupe d'individus eu recours au service du capitaine, Tyler Sappeltown qui effectue régulièrement ce trajet. Pendant la journée qui suivi, après qu'ils eurent réservé leurs chambres à la pension de Miss Eleanor Crampton, il furetèrent toute la journée dans le village. Ils questionnèrent les habitants,qui furent vite dérangés et agacés par leurs questions indiscrètes et leurs allées et venues incessantes. Plus tard dans la nuit l'on me fit rapport d'une agression à l'encontre d'une de ces personnes, monsieur Jean Monet, écrivain de sa profession.
Selon lui trois individus masqués l'auraient agressé et roué de coups sans raisons apparentes.Pourtant ce type de phénomène n'est jamais arrivé auparavant dans ma bourgade, et j'ai toute les raisons du monde de douter de cet hasardeux témoignage.
 Plus tard la même nuit, je recevais une plainte de Miss Mary Wenrec,une honorable concitoyenne, à qui, certains de ces individus, avaient forcé la porte de son domicile, arrachant plusieurs planches de ladite porte.Vous conviendrez, j'en suis sur, de la férocité et la violence de tels actes.
 En ce qui concerne la journée du 25, monsieur l'inspecteur je n'aurais la force et la conviction d'écrire ici, tous les évènement dont je fus le témoin éloigné. Cependant,certains d'entre eux doivent être énoncés. Le lendemain donc, ce petit groupe, que j'aurais tendance à qualifier d'aventuriers, malgré les professions au demeurant très noble qu'ils prétendent exercer, se rendit au site mégalithique qui se situe à deux miles vers l'est du village.
 A leur retour ils m'annoncèrent qu'ils avaient trouvé un cadavre sur la plage du site, mais ils ne m'en dirent pas d'avantage. Lorsque je me rendis sur les lieux, l'un deux m'attendait près du corps, un dénommé Monsieur Couval Sébastien, détective selon lui, bien que j'appris par la suite, de façon très fortuite, qu'il s'agit, dans son pays, d'un agitateur reconnu. Celui ci me demanda, par des gestes grossiers, de ne pas regarder le cadavre, qu'ils avaient recouvert d'une veste. Je ne pu m'empêcher de penser qu'un tel comportement était pour le moins suspect.
Et une fois l'individu partit rejoindre ses acolytes, j'examinais le corps. Quelle ne fut pas ma stupeur, mais je suis ici bien incapable de décrire ce que je vis.
 Plus tard dans la journée je fus obligé d'intervenir dans une altercation entre monsieur John wendish, un de mes habitants les plus respectable, et monsieur Glemarec Judicaël, dont le but de sa profession me semble des plus obscur. Cet étrange personnage se promène la plupart du temps, armé de fusils et d'un sabre. Vous comprendrez que, seul, je ne pu agir conformément aux lois et désarmer ce dangereux personnage. Qui d'ailleurs usait sur la personne de monsieur Wendish, de brutalité indigne d'un vrai gentleman, lui posant des questions insensées et déplacées.Il finit malgré tout, grâce à mon intervention, par relâcher monsieur Wendish, qui je pense, porte encore les marques de cette rencontre.
  Ultérieurement, le groupe aurait été aperçu, traversant une partie du village en courant, comme s'ils participaient à une quelconque épreuve sportive, et se réfugier à bord du "Mary's Galloway", le navire du capitaine Sappletown. Ayant eu vent de ces agissements, je me rendis au quai, puis, je rencontrais le capitaine Sappletown pour en savoir d'avantage. Une fois de plus le récit fait par ces intrigants, et restitué par ce brave capitaine, était des plus nébuleux, et tout me porte à croire que ces quidams abusent de la confiance et de la crédulité de monsieur Sappletown.
  Dans la soirée,certain de mes concitoyens les auraient vu s'éloigner ensemble en direction de le propriété du docteur Robert Stoner,biologiste, qui est à l'écart du village. Monsieur Stoner qui d'ailleurs n' a pas reparu depuis quatre jours au village, alors que ses absences sont habituellement très rares et de courtes durées.
 Depuis, on ne les a pas revu au village, et un certain nombre de mes concitoyens sont également absents ce matin. Je crains fort que quelques évènements très graves ne se soient déroulés cette nuit dans cette étrange propriété.
 Je sollicite donc votre présence ainsi, qu'une de vos équipes de policiers, pour ramener la tranquillité dans mon village.

 Je vous salut très respectueusement.

                               Le maire, Robert Scottting.



Quant à nous, saluons cette équipe, qui a su tirer son épingle du jeu :

Et ceci malgré les perfidies, les ruses, les intrigues, les pièges, de votre serviteur :

Et d'ailleurs j'attends de pieds fermes la deuxième équipe qui doit faire ce scénario, le samedi 31 octobre...

A bientôt !
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E
<br /> Avec plaisir Internanette^^!!!<br /> <br /> <br />
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I
<br /> Homme d'affaires, détective révolutionnaire, écrivain romancier ???? Ouh la la, ils sont devenus des gens bien, mes "petits élèves"... Est-ce que je peux me permettre encore de leur faire la bise ?<br /> <br /> <br />
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